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Le phénomène de la transsexualité est reflétée dans toutes les cultures et à travers le temps.
Dans la culture gréco-romaine, on trouve, par exemple, la sculpture d’Ovide, exposés dans le Musée du Louvre à Paris.
La déesse de Castalia, dans la mythologie grecque était favorable et sont convenus de “les désirs de la femme âmes enfermées dans les organes mâles.”
Dans la Rome antique, il y avait quelques personnes qui naissent avec le corps d’un homme qui a décidé de son sexe et autocastraban leurs organes génitaux masculins. Ils étaient les prêtresses Gallae.
Le philosophe juif Philon d’Alexandrie (de 20 à.C.-50 d.C.) décrit par des citoyens romains, les hommes qui ont investi de grosses sommes d’argent pour changer votre nature masculine au féminin.
Ovideo, un poète de la Rome antique, il couvre toutes les modifications du corps potentiel dans son poème “La Métamorphose”, ce qui suggère assez clairement la volonté de certaines personnes de son temps de changement de sexe.
N’éteignez pas le sentier de la transsexuel dans l’histoire quand il a fini par être considéré comme déviant. Ou quand ils ont été convertis en criminels (ils ont appliqué la Loi de clochards et des voyous). Ou quand ils ont été décrits comme des malades mentaux.
Nous devons garder à l’esprit que les résultats des questionnaires de la psychopathologie (MMPI) montrent que les personnes transgenres sont notamment libres de la psychopathologie majeure, telle que la schizophrénie, le trouble obsessionnel-compulsif ou un trouble bipolaire. Il est donc inutile d’insister que le transsexualisme est une mode, une mode ou une perversion de l’individu. Au contraire, il devient de plus en plus nécessaire le sérieux de la recherche et d’offrir des traitements d’une approche multidisciplinaire et globale dans la santé publique afin d’améliorer la qualité de vie de ces personnes.
Les histoires de la vie des personnes transgenres à travers l’histoire sont peut-être les plus représentatifs qui sont affichées sur les pages sur le thème des transsexuels.
Le travail d’Isabelle Rico est excellent. Loin d’articles médiocres toujours avec un fond morbide sur le sexe, de boucher chirurgicale, de la vie des méchants, et de l’obscurité, ou de différents personnages de rue sans dignité ou de l’ambition. L’ensemble de cette ordure et de la science-fiction. Les personnes transgenres sont normaux, les citoyens ordinaires, qui à chaque fois nous sommes scandalisés d’entendre plus nombreuses atrocités sur nous.
Au fil des siècles il y a eu des personnes transgenres dans tous les pays de la planète, donc transsexualisme en aucun cas elle ne peut être ni une culture, ni une mode. Tous ont combattu pour leur identité, ni plus ni moins, serait la population générale, si vous êtes né dans le genre qui ne se sent pas comme la vôtre.
Ce que vous faites, Elizabeth est, en fin de compte, un témoignage de la réalité: le nombre de vies humaines, des hommes et des femmes, que le fait d’être transgenre ont eu stock très difficile, très difficile, la vie de la solitude et de la marginalisation, et de nombreuses fois condamné à la prison et, toujours, en tout temps, privés de leurs droits et soumis à la méfiance de certains et à la curiosité morbide des autres.
La recherche à la recherche de personnes transsexuelles qui ont vécu à travers le temps, ainsi que l’enquête sur leur vie, il est très important pour les personnes transgenres que nous vivons aujourd’hui. De grands savants de renom dans le monde de la science, même les voleurs et arnaqueurs “prestige”, en passant par les saints et religieux: des milliers de personnes ont été né transgenres au cours des siècles, et tous ont vécu sous leur véritable identité, en dépit de la Sainte Inquisition, des skinheads, le Droit des Clochards et des Voyous, Mahomet et les musulmans, et les flammes de l’enfer.
Nous vous invitons à découvrir le mode de vie de certaines de ces personnes –accès ici